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De plus en plus d’investisseurs se penchent vers les SCPI pour de multiples raisons.L’un d’entre eux est le terme de la fiscalité. Ainsi, nous allons développer ce sujet.
La fiscalité avec la détention de parts dans les SCPI
Les SCPI sont des sociétés transparentes du point de vue fiscal. Ainsi, chaque associée impose les revenus générés par elle, donc, ils fixent l’impôt sur le revenu. Chaque revenu des associées de la SCPI est perçu proportionnellement à leurs parts détenues. Les revenus sont dons imposés dans les catégories de revenus fonciers :
- Au régime du microfoncier, dans le cas où les revenus sont inférieurs à 15 000 euros. Alors l’investisseur peut bénéficier d’un abattement de 30 %.
- Au régime du réel, dans le cas où les revenus sont supérieurs à 15 000 euros. Alors, l’investisseur peut déduire de ses revenus plusieurs frais, avec l’intérêt d’emprunt compris.
Les revenus financiers concernent la quote-part qu’on réalise sur les placements financiers dans les SCPI. Ils sont donc soumis à l’impôt sur le revenu ainsi qu’aux prélèvements sociaux avec un taux de 15,5 %. Le portail SCPi promet plusieurs détails sur cette information.
La fiscalité dans le cas de revente
La fiscalité sur les plus-values dans le cadre de l’immobilier des particuliers est appliquée aux plus-values réalisées dans la cession de parts. Elles sont composées de :
- 15,5 % de prélèvement social
- 19 % d’impôt sur le revenu
Soit, en totalité, 34,5 % d’impôt sur les plus-values.
Néanmoins, il y a des avantages propres aux SCPI :
- Il n’y a pas de souci dans la gestion locative.
- Il y a une mutualisation des risques.
- On bénéficie d’une rentabilité et de l’accessibilité de placement.
- On est encadré par une société de gestion qui prend tout en charge.
- Les placements sont plus liquides
- Les SCPI offrent aux investisseurs la possibilité de vendre leurs parts (une partie de l’immeuble détenu par l’associé).